Anton Serra / Lucio Bukowski // Commérages ( Prod: Oster Lapwass) Remix

 
2012/05/21  - Clips

Anton Serra / Lucio Bukowski // Commérages REMIX ( Prod: Oster Lapwass )

 

Première Version

 

 

 

Tu veux du rap ?
Vu qu'les radios
Nous aident pas
Du bon il se fait rare
Comme un ministre en air max
Dans ma playlist
J'peux passer d'Jacques Brel à Red man
Et chuis devenu complètement ? comme red man
Y'a du redma crois-moi qu'c'est pas tombé un jour du ciel
Le hip hop ne me ramène pas d'cash mon frère
Mais que des lettres d'huissier
Ca fait longtemps tu sais qu'les mur biyavent nos encrent
Cul sec dans l'type
Tu verras pas d'merco et d'grand ?
Qu'est-ce t'as ?
J'ai pas l'permis j'voyage en semelle
En week-end même en semaine
Ca vous r'garde pas de quoi on s'mêle
C'est notre train-train
Que les wagons deviennent wall car
On s'improvise vagabond quand tous les autres
Squattent le hall tard
Le coquard à l'oeil
Deux trois clampins pour des zbarres verent à l'oeil
C'est c'qui nous parle
Et quelques textes de rap en parallèle
C'est par l'pied du graffiti qu'on est là
On a pas attendu les réseaux sociaux et leurs foutus commérages
Dans ma playlist
J'peux passer d'Erik Satie à M
De la septième symphonie d'Beethov' à I.A.M
Dans l'alphabet toi tu dépasses pas IJKL
Pendant qu'je marche sur la lune à la Michael

Le hip hop doit être un dieu
Personne le voit mais tout le monde parle de lui
Les rappeurs n'ont pas d'âme
Comme une adolescente en boîte de nuit
Parti d'nulle part j'arrive de toutes les directions
Mes textes sont des jambes de femmes :
Provoquent murmures et érections
Mes raisons t'y pigerais rien comme un rap en latin
J'apporte le crépuscule butterai le game un de ces quatre matins
Ils savent qui sont les rois
Lyon est un pénitencier
Comme Edmond Dantès, je plongerai pour mieux vous distancer
Cinq cent cahiers, dix ans de rap pour pas mille EU
Pourquoi laisser un empreinte quand j'viens piétiner l'milieu ?
Chaque jour j'veux arrêter
J'finis en stud avec la team
Les assassins reviennent toujours sur le lieu de leur crime
J'n'ai aucun nom sinon celui qui te met mal à l'aise
Toi et moi savons qui domine dans l'art subtil du 16
Paraît qu'tu pêche, j'dirais qu'tes lourd comme une morale de fin
Un jour je serai vrai, j'aurais du ? au frein
 
merci @Samuel Pautrel


 


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